•  L'absence commence à être longue... Ma jolie fée,
    tu prends conscience de son départ,

    tu sais mieux chaque jour qu'il ne reviendra pas.
    Ma si jolie, si douce fée, qui garde pour elle ses timides larmes
    .
    Qui ne s'écroule jamais devant moi.
    Toujours fraiche, toujours sourire, c'est moi que tu consoles folle de fée.
    C'est une drôle d'idée. Korrigane, tu réalises plus fort aujourd'hui,
    plus fort qu'hier et moins que demain, ce que tu as perdu.
    Le manque, le mal de lui, n'est plus abstrait.
    Réalité qui t'éclabousse en pleine figure.
    Elle te touche plus profondément ma fée,
    elle en devient presque palpable, si ce n'est visible à tes yeux.
    Alors tu te protèges ma jolie fée,tu poses des mots qui n'ont pas de sens
    et ne sont que chimère. Parce qu'une absence ne peut qu'être longue
    lorsqu'elle est déterminée à durer, toujours...   

    Je t'aime ma fée.  


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    En équilibre sur une branche, je fouette l'air de mes mains, je vacille.
    Jamais stable et tranquille et pourtant jamais ne tombe.
    Jamais certaine du pourquoi, du comment, mais ne lâche prise.
    Une pointe de pied après l'autre, je me dirige à l'aveuglette, ballotée en tout sens.
    Plus le vent s'essouffle, meilleur mes chevilles se tiennent.
    Puis la branche tremble, de nouveau j'oscille.
    Jamais reposante et docile, la branche creuse ma tombe.
    Jamais stable et tranquille, pourtant jamais n'expire et ne tombe.

     


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    Je ne trouve plus quoi dire... je n'ai plus rien à dire... ou peut être trop à en dire...
     
    C'est grave docteur ? 
     

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    Le moral ? Il en a ras le cul-cul de faire le yoyo.
     

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